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« Ma vie est
belle même avec la trisomie 21.
Nous les personnes avec trisomie 21 nous ne
voulons pas être éliminées.
Nous voulons vivre.
Moi, François, je vous demande
de toujours protéger les plus faibles. »
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Chers Paroissiens,
Depuis 8 mois, à chaque Messe nous prions pour que se multiplient les disciples-missionnaires sur nos paroisses.
Et nous disons : « donne à chacun de nous sa place pour la mission ».
On ne demande à personne de s’embarquer seul, la croix à la main, pour évangéliser une terre inconnue. Mais comme curé, je demande à chacun d’ouvrir sa porte et son cœur, pour inviter ses voisins ou amis avec les « petits groupes », comme je demande à chacun de porter le renouveau missionnaire de nos paroisses dans sa prière quotidienne.
Cela dérange un peu nos habitudes ?
Mais que voulons-nous dire lorsqu’à chaque Messe nous prions : « accueille l’offrande de notre vie pour la gloire du Père et le salut du monde » ?
Pourrait-on offrir sa vie sans changer un tant soit peu ses habitudes ?!
« Montre nous comment t’annoncer à tous nos frères ».
Précisément, vous trouverez dans la suite de l’édito comment s’y prendre pour ces petits groupes. Car ils sont autour de nous, les hommes qui cherchent le Seigneur, parfois sans le savoir. Ils sont aussi à nos côtés, les frères qui l’ont déjà rencontré. C’est avec les uns et les autres que nous aurons la joie de nous retrouver en « petits groupes » dans notre marche vers Pâques !
Dès maintenant, bénissons le Seigneur pour les fruits de ces rencontres.
‘’Seigneur, que ton règne vienne !
p. Arnaud de Guibert, curé
Plus d'info : 10 questions
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Les kits de tests génétiques
rencontrent un essor de vente colossal
Le magazine scientifique américain MIT Technology Review, de la célèbre
Université de Cambridge, le Massachusetts Institute of Technology (MIT) vient
de publier un bilan
estimant que plus de 26
millions de personnes auraient déjà eu recours à un test génétique.
Si cette tendance et cette croissance se confirment, les sociétés qui proposent ces kits détiendront l’information génétique de plus de 100 millions de personnes.
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Le jeune philosophe, auteur de l'excellent "Les Déshérités",
propose un essai tout en dialectique contre l'injonction progressiste de la
modernité.
Embrassant avec talent l'histoire des idées de l'Antiquité à la
révolution copernicienne, il démontre la vacuité de la course au progrès de
l'époque.
Il dénonce l'abîme métaphysique d'un mouvement érigé en vertu
suprême.
Il nous exhorte à nous libérer des illusions sémantiques et à
questionner le sens ontologique de nos vies.
Comment habiter le monde ?
Comment
placer l'être avant le flux ?
Que doit-il demeurer ?
Imparable.
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Voici 2
propositions qu'Alliance VITA souhaite faire entendre et porter
auprès des instances publiques.
Merci de vous en faire l'écho, via les outils
du grand débat : site, cahier de doléances, réunions publiques...
Un grand
merci !
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1° MATERNITÉ ET POLITIQUE
FAMILIALE
- On observe un recul
constant de l’âge de la maternité, qui s’accompagne d’une explosion de l’infertilité,
liée bien souvent à des maternités
trop tardives. Par ailleurs, nous faisons l’expérience,
dans nos services d’écoute, que de nombreuses femmes ne peuvent poursuivre
leur grossesse pour des raisons économiques, mais aussi bien souvent à
cause des normes sociales qui pèsent sur la maternité : un enfant trop
tôt, trop rapproché... Nous demandons au gouvernement de prendre des mesures fortes pour
soutenir et encourager les femmes dans leur maternité et leur permettre de
concilier maternité et vie professionnelle ou maternité et études.
- Les chiffres
de la démographie sont alarmants. En 2018, la natalité a
chuté pour la 4ème année consécutive, et elle s'accompagne d'une baisse de
la fécondité sous le niveau de renouvellement des générations. Depuis
quelques années, les aides prévues par la politique familiale ont été
systématiquement réduites ou remises en question. Il est temps de remettre des moyens dans une
politique familiale ambitieuse, qui soutienne les familles
dans leur projet de parentalité, à la fois par des incitations fiscales
(réévaluation du quotient familial) et le développement des aides (universalité
des allocations familiales, PAJE..)
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2° DÉPENDANCE ET FIN DE VIE
- Le vieillissement
de la population est devenu une des questions majeures
pour notre pays.
- Plus de 10% des plus de 80 ans seraient dépendants, et
leurs familles peuvent se retrouver dans l’impossibilité de payer leur
prise en charge à domicile ou en EHPAD, extrêmement coûteuse. Comme cela a
été annoncé par le gouvernement, nous demandons qu’une nouvelle loi soit votée rapidement
afin de financer la dépendance et promouvoir la solidarité entre les
générations.
Aujourd'hui, la France accuse un retard important dans l'offre de soins
palliatifs, avec de très
grandes inégalités entre les régions, alors que des pressions
de plus en fortes s'exercent pour légaliser l'euthanasie, risquant de pousser
les personnes les plus fragiles vers la sortie.
Le dernier plan de soins
palliatifs (2016-2018) était largement insuffisant pour répondre aux besoins.
Nous
demandons un plan
ambitieux pour développer les soins palliatifs, afin
d'accompagner au mieux les Français dans leur fin de vie, en particulier les
personnes les plus vulnérables.
+ DEPOSER UNE CONTRIBUTION
( ces contributions ont leur place dans le thème TRANSITION ECOLOGIQUE)
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LA TRANSITION ECOLOGIQUE DOIT ETRE PRIORITAIREMENT POUR L’HUMANITE.
L'avenir
de l'homme est la grande question de notre temps.
Fragilisée par cinquante ans
de déconstruction libertaire, l'humanité va-t-elle s'engouffrer dans la
promesse du transhumanisme, de l'homme sans limite, unisexe, invulnérable et
immortel ?
C'est le nouveau fantasme totalitaire.
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À VANNES, ATTAL « VEND » LE SNU AUX JEUNES
Le secrétaire d’État s’est déplacé dans le Morbihan,
qui va expérimenter dès juin le service national universel.
Caroline Beyer Le Figaro 18 février
ENGAGEMENT C’est à Vannes, dans le Morbihan, que
Gabriel Attal, secrétaire d’État auprès du ministre de l’Éducation nationale et
de la Jeunesse, a fait le déplacement, le 15 février, pour assurer la promotion
du service national universel (SNU).
Et attirer des volontaires qui, dès juin,
participeront à sa phase expérimentale.
Une communication nécessaire au vu de l’ignorance des
jeunes à l’égard de ce dispositif d’engagement d’un mois minimum (quinze jours
en internat et quinze autres dans une mission d’intérêt général), voulu par le
président Macron.
À compter de l’an prochain, il sera progressivement étendu et
obligatoire. Il devrait atteindre l’ensemble d’une classe d’âge en 2026, pour
un coût d’1 à 1,5 milliard d’euros.
« Personne n’était au courant. On nous a
expliqué parce que vous veniez », lance Hémeline, 17 ans, en CAP coiffure, lors
de la séance de questions-réponses entre le ministre et douze jeunes du Centre
de formation des apprentis (CFA) de Vannes.
Ici, ces apprentis boulangers, coiffeurs, serveurs,
bouchers ou mécaniciens n’ont qu’une question à la bouche :
« On va leur dire
quoi à nos patrons ? Dans nos métiers, ils ont besoin de nous l’été. On aura
une perte sur notre salaire ? »
Gabriel Attal explique qu’il réfléchit avec la
ministre du Travail pour intégrer les apprentis au SNU.!!!
Car si, à 16 ans, 90 %
des jeunes sont au lycée, 10 % sont en alternance, en emploi ou en décrochage
scolaire. Dans chacun des 13 départements qui expérimenteront cette année le
dispositif, 100 à 200 jeunes (soit au total 2 600) seront affectés, à la
mi-juin, dans l’internat d’un autre département (pourquoi ???) que le leur, pour quinze jours.
Au cours de cette phase de « cohésion »,
- ils suivront des modules de formation
aux premiers secours,
- des ateliers consacrés aux valeurs de la République
- ou à
la protection de l’environnement.
- Ils auront aussi des activités extérieures,
comme des courses d’orientation.
Mais pour Gino, apprenti boucher, « quinze jours, ce
n’est pas assez long ».
Il aurait préféré que l’on « remette en place le
service militaire ». Il est favorable à l’uniforme - de rigueur pendant ces
quinze jours (lire ci-dessous) - parce qu’« il efface les différences sociales
».
Le jeune et fringant ministre joue la proximité avec les adolescents
présents et évoque sa « JDC » (Journée de défense et citoyenneté), instituée en
1997. « Nous sommes peu au gouvernement à l’avoir faite », glisse-t-il.
« Et
comment vous allez expliquer aux lycéens qu’ils vont devoir prendre sur leurs
vacances pour faire ce SNU ? », interroge une jeune fille.
Au CFA de Vannes,
les questions sont très pratiques :
- « Est-ce qu’on aura droit au téléphone
portable à l’internat ?
- Avant d’aller se coucher, il y aura des activités ?
- On
pourra fumer ?
- Quelles seront les sanctions en cas de mauvais comportement ? »
« Avec un encadrant pour cinq jeunes, (mieux que dans les centres éducatifs fermés !!!) on fait le pari qu’il n’y aura pas de
problèmes majeurs », réplique Gabriel Attal, qui renvoie à un futur règlement
intérieur.
Hémeline, elle, se réjouit de ce « dispositif mixte, contrairement
au service militaire. C’est l’égalité ! ».
À quelques kilomètres de là, l’internat du lycée
Lesage accueillera dès juin les jeunes engagés venus d’autres départements.
Des
chambres aux murs verts, de quatre lits, sur deux étages. Dans le Morbihan,
c’est le général Stéphan Thévenet, « patron » durant cinq ans de l’école de
gendarmerie de Tulle, qui dirigera le centre SNU.
Face au ministre, le
militaire à la retraite a lui aussi des questions pratiques :
- « Aura-t-on le
temps, en dix jours, de faire passer un bilan de santé à chaque jeune ?
- Quelles
sont les procédures prévues pour les renonciateurs ? »
Le militaire sera
assisté de deux éducateurs sportifs, chargés d’encadrer les deux « compagnies »
du département. Sur place, plusieurs modules de formation ont déjà été
élaborés. Dans le golfe du Morbihan, les sauveteurs en mer ont imaginé
plusieurs scénarios grandeur nature, destinés à éprouver la cohésion des jeunes
engagés.
Quand le parcours du combattant cède la place à des épreuves «
Koh-Lanta »...
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UNE BONNE IDEE !
POURQUOI NE PAS OUVRIR DES INTERNATS POUR LES SCOLAIRES A PROXIMITE DES LYCEES ET COLLEGES DANS TOUS LES DEPARTEMENTS ?
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DES COLONIES
« HORS-DE-PRIX »
Ouest France 15 février 2019
Face au Centre maritime de la ville de Saint-Cloud, un
voisin, casquette vissée sur la tête, se rappelle. « C’était chouette, ça
bougeait dans tous les sens. On a même eu des curés qui venaient faire la messe
pour les petits. » Le lieu, rattaché à la commune des Hauts-de-Seine, a arrêté
de fonctionner en 2014. « C’est catastrophique, explique Christophe Godfroy,
responsable des séjours à la mairie de Saint-Cloud. Mais les raisons sont
multiples. Notamment la pression immobilière et le coût exorbitant des remises
aux normes. »
Même constat pour Villemomble qui a retiré son centre l’année
suivante.
Les bâtiments alors vidés de leurs occupants, sont
réutilisés en lotissements privés. Le Centre maritime attend, quant à lui,
encore des repreneurs.
Un mode de vacances qui n’a plus la cote
Le mouvement n’est pas propre à Saint-Brevin. « La société
évolue et les pratiques changent. Les colonies ne font plus rêver », pointe
Damien Roussel, directeur de cabinet de la Ville. Aujourd’hui, les plus jeunes
sont attirés par les vacances à thème : stages nautiques, club de plage et
centre aéré.
Pour Liliane, septuagénaire, la tradition se perd. « Avant,
on envoyait nos enfants en centres de vacances parce qu’on y était nous-mêmes
allés. Maintenant, ce patrimoine n’existe plus. » Désormais, pour Christophe
Godfroy, les vacances « se divisent entre séjours de riches et séjours de
pauvres. »
Et les prestataires en souffrent. « Ouvert toute l’année,
notre établissement faisait vivre le commerce local, ajoute ce dernier. Il est
dommage que les villes doivent laisser filer cette activité. »
Léa COUPAU.
D’où viennent les
colonies de vacances ?
À la fin du XIXe siècle, les centres accueillaient les
enfants défavorisés pour des raisons sanitaires. Le bon air était jugé
bénéfique et cette pratique a continué jusqu’à l’Entre-Deux-Guerres.
Il y avait d’un côté les colonies paroissiales, attachées à
un diocèse, et les colonies communales où, comme à Saint-Brevin, les villes
achetaient des terrains pour y construire leurs établissements. C’est ensuite,
après 1945, que les centres de vacances sont devenus extrêmement populaires.
Passer quelques jours au soleil, en bord de mer, était quelconque, accessible à
tout le monde.
Notamment, aux classes les plus défavorisées.
Depuis quand alors, ne séduisent-elles plus les vacanciers ?
Le déclin date des années 1970. Les familles se sont
révélées plus exigeantes. Elles attendaient plus de confort et d’animations
pour leurs enfants. Aussi, l’émergence du Club Med a décidé beaucoup de
vacanciers. Puis à côté de cela, des normes européennes concernant la sûreté se
sont imposées. Les centres ont eu de nombreuses difficultés à faire face et à rivaliser
avec les nouveaux modes de vacances.
FAMILLE Aider les jeunes majeurs à leur sortie du
système de la protection de l’enfance : c’était une des promesses phares
du « plan pauvreté » d’Emmanuel Macron. Jeudi, le tout nouveau
secrétaire à la protection de l’enfance, Adrien Taquet, a annoncé les premières
pistes pour mettre en œuvre cette promesse.
Aujourd’hui, une personne sans domicile fixe sur quatre,
âgée de 18 à 25 ans, vient de la protection de l’enfance. Nombre de jeunes pris
en charge par l’Aide sociale à l’enfance (ASE) se retrouvent en effet à la rue
du jour au lendemain, sans aide et le plus souvent sans personne sur qui
compter, lorsqu’ils atteignent l’âge de 18 ans. Un « échec
collectif » et un « gâchis humain » « inacceptable »,
a dénoncé Adrien Taquet....
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LE SERVICE MILITAIRE OBLIGATOIRE PROMIS PAR MACRON
POURRAIT ÊTRE EXPÉRIMENTÉ EN 2019
A l'origine, Emmanuel Macron avait annoncé un projet de loi
dès la fin 2017, évoquant un coût compris entre 2 et 3 milliards d'euros.
POLITIQUE - Ce sera un peu plus tard que prévu. Le service
national universel d'un mois promis par Emmanuel Macron pendant sa campagne pourrait
être expérimenté "en 2019", a déclaré samedi à l'AFP la secrétaire
d'Etat auprès de la ministre des Armées, Geneviève Darrieussecq.
A l'origine, le candidat Macron avait anticipé un projet de
loi dès la fin 2017, évoquant un coût compris entre 2 et 3 milliards d'euros
"en rythme de croisière", et en promettant que le budget des Armées
ne serait pas ponctionné. Le 14 juillet, alors en plein bras de fer avec son chef d'Etat-major des armées
suite à des coupes budgétaires, le président de la République avait annoncé la
création d'une commission sans détailler le calendrier.
Une commission dédiée nommée début octobre
"Depuis, il y a eu des rencontres techniques, des
demandes aux administrations de faire un point sur les actions déjà mises en
place pour la jeunesse", a indiqué samedi Geneviève Darrieussecq, en marge
de l'université de rentrée du MoDem à Guidel dans le Morbihan.
"La commission de haut niveau va prendre en charge ce
dossier. Nous avons fait des propositions au premier ministre qui devrait la
nommer courant octobre", a-t-elle ajouté, en précisant que l'esprit était
d'y inclure "tous les représentants des ministères concernés, des
responsables de la jeunesse, des parlementaires, des personnes
qualifiées".
La ministre souhaite notamment que ce service "forme des
jeunes qui soient protecteurs du pays". Ils pourraient y apprendre
"les gestes qui sauvent, la conduite à tenir en cas de cataclysme,
d'attentats, d'état de guerre". "Dans le contexte que nous vivons,
celui d'une société qui vit des fractures, d'une menace terroriste, il est
important de retrouver une forme de creuset national, un moment où toute une
classe d'âge est réunie et mélangée", avait plaidé Emmanuel Macron pendant
la campagne.
Dans le cadre de l'université de rentrée du MoDem, le
président du parti centriste François Bayrou a apporté son soutien au projet
tout en demandant à ce que l'on "réfléchisse à ajouter un mois de service
civique".
UNE FAUSSE BONNE REFORME QUI COÛTERA PLUSIEURS MILLIARDS !
Est-ce bien raisonnable ? Ne devrait -on pas s'interroger pourquoi attendre la fin de la scolarité obligatoire pour prendre en charge les enfants qui ont galéré dans les campagnes ou les villes de banlieues durant les vacances.
La scolarité va devenir obligatoire à 3 ans ! Pourquoi ?
PARCE QUE LE SOCLE FAMILIAL qui était très présent pour prendre en charge la petite enfance a été disloqué,
PARCE QUE LES AIDES POUR GARDE D'ENFANT ont été détournées de leur sens, parce que le congé parental a été réduit et en rendant obligatoire le partage entre le "parent (e) 1 et le parent (e) 2
POURQUOI NE PAS OUVRIR TOUT SIMPLEMENT DES INTERNATS POUR LES SCOLAIRES AU LIEU DE REAMENAGER LES CASERNES POUR ... 15 jours de SERVICE CIVIL
CELA EVITERAIT DE VOIR LES JEUNES DANS LES CAMPAGNES PARTIR A 5H30 LE MATIN POUR RENTRER EN FAMILLE A 20 HEURES... UNE BELLE EXPERIENCE DE COLLECTIVITE AVEC DES ETUDES SURVEILLEES POUR FAIRE LES DEVOIRS...
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EMMANUEL MACRON A ENFIN TROUVÉ LA PARADE AUX MANIFESTATIONS GILETS JAUNES.
Il avait essayé de décrédibiliser les Gilets Jaunes avait les outils utilisés pour les manifestations syndicales :
- monter les riches contre les pauvres,
- monter les commerçants contre les fonctionnaires nantis qui peuvent occuper les ronds points ...
et puis petit à petit il a compris que le mouvement Gilets Jaunes s'était la même chose que le mouvement Manif Pour Tous :
DES GENS MODÉRÉS QUI DÉFENDENT PACIFIQUEMENT LEUR POINT DE VUE.
Alors, les médias ont mis en évidence les dérapages
GILET JAUNES = DÉSORDRE ET VIOLENCE .
Comme ce fut le cas lors des grandes manifestations Manif Pour Tous.
Comme en 2013 et 2014 ! en 2019 les violences ne sont pas le fait des Gilets Jaunes mais le fait des cagoules Noires
Gilets jaunes : « Au fil des actes, la violence a émergé et le mouvement a été récupéré par les cagoules noires » déplore Bruno Retailleau
Vendredi 15 février : Val-de-Marne : l'aide-soignant soupçonné de violences dans un Ehpad a reconnu les faits.
VOUS AVEZ BIEN LU ET ENTENDU : CET AIDE-SOIGNANT, IL ETAIT SUR LES RONDS POINTS ! ...MACRON A TOUT COMPRIS ...
VOUS RAPPELEZ-VOUS COMMENT LE TRISTE FAIT DIVERS A ETE TRAITE
10 MORTS DANS UN INCENDIE CRIMINEL
Un quart de page en page 8 dans tous les quotidiens...
et le tag antisémite : 3 minutes de radio à chaque bulletin d'information et un titre à la une et 2 à 3 pages.
Tout simplement : la femme qui a mis le feu est une malade mentale ... l'Etat ne veut pas communiquer sur la misère des hôpitaux psychiatriques qui est pourtant une triste réalité.
LES GILETS JAUNES ONT ENCORE DE BONNES RAISONS D'OCCUPER LES RONDS POINTS QUOIQU'EN DISENT LES ACTEURS BOBOS MACRONIENS...
"En réalité, les « gilets jaunes » paient leur
manque d’organisation, de programmes, de leaders. Ils se font confisquer leur
révolution, par la gauche et par le pouvoir.
Cela fait quelques semaines que
les premiers «gilets jaunes » ont cédé la place à un mouvement plus
structuré, syndicalisé, politisé. C’est un militant de la CGT qui a enfoncé la
porte du porte-parolat du gouvernement avec un transpalette, le 5 janvier.
L’extrême gauche est identifiable dans les défilés, avec ses drapeaux, son
savoir-faire, ses slogans illustrant la lutte des classes.
Parallèlement,
Macron a réussi lui aussi à s’approprier une partie de la révolte, en
transformant en long monologue présidentiel le besoin d’expression de la
société oubliée.
Le pouvoir a du mal à cacher un sentiment de victoire.
Pourtant, l’impuissance qu’a montrée Édouard Philippe face à des Français
furieux, mercredi sur LCI, rappelle que le pays vit sur un volcan."
Yvan Rioufol Champs Libres du Figaro 15 février
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